Le traité entre la République française et la République fédérale d’Allemagne sur la coopération franco-allemande, dit "Traité de l’Élysée", signé le 22 janvier 1963 par le chancelier Adenauer et le général De Gaulle, est le socle fondateur des relations entre la France et l’Allemagne et scelle la réconciliation franco-allemande.
L’ordonnance tire les conséquences du retrait du Royaume-Uni de l’Union européenne (Brexit) en matière d’assurances, de placements collectifs et de plans d’épargne en actions.
Les négociations sur la future relation entre l'UE et le Royaume-Uni se sont déroulées du 4 au 10 septembre 2020. Face à un projet de loi britannique remettant en cause certains engagements pris dans le cadre du Brexit, l'UE a donné au Royaume-Uni jusqu'à fin septembre pour retirer les dispositions douanières posant problème sur l'Irlande du Nord.
La loi du 17 juin 2020 relative à diverses dispositions liées à la crise sanitaire, à d'autres mesures urgentes ainsi qu'au retrait du Royaume-Uni de l'Union européenne a habilité le gouvernement à prendre par ordonnances certaines mesures. Au total, la loi comprend dix habilitations.
La loi contient dix habilitations à légiférer par ordonnances et des dispositions dans des domaines divers pour répondre à la sortie de la crise sanitaire (travail, justice, économie, conséquences du Brexit...). Elle complète les mesures d'urgence sanitaires, économiques et sociales déjà prises pour affronter l'épidémie de Covid-19.
Les pourparlers entre l'Union européenne et le Royaume-Uni sur l'après-Brexit se trouvent dans une impasse. Le mini-sommet européen en vidéoconférence du 15 juin 2020 devait leur impulser un nouveau souffle. Les grandes questions de fond des futures relations demeurent cependant toujours ouvertes.
Le Royaume-Uni s'est retiré de l'Union européenne le 31 janvier 2020. Pendant la période de transition, il est tenu de suivre les règles de l’UE. Le 1er janvier 2021, si aucun report n’est décidé, débutera l’ère post-Brexit pour les deux parties. Leurs relations futures font l'objet de pourparlers dont le calendrier est serré.
Hongrie, Pologne, Slovaquie, République tchèque… Depuis 10 ans, plusieurs pays d’Europe de l’Est ont vu la montée en puissance de forces politiques dites populistes ou "nationalistes-conservatrices". Leur point commun : la critique radicale de la démocratie libérale et la défense de l’identité et de la souveraineté nationale.